Street Horse

est né de l’idée originale de l’artiste défunt Sylvain Resling. Un prototype du projet est proposé à près de 8000 visiteurs à la BIENNALE INTERNATIONNAL DE L’IMAGE d’avril 2008 à Nancy. Puis à Strasbourg, au Palais du Rhin, par la Fondation culturelle néerlandaise« Theo van Doesburg ».

Le vidéaste et plasticien Sylvain Resling sollicite le collectif Ôlavach’ en 2009 pour l’accompagner dans la réalisation de ce projet artistique qui consiste en une installation cyclo-vidéo-mécanico informatisée.

Elle convie les visiteurs à « circuler », très subjectivement, à vélo, dans les rues,  dans une ville, un univers , une histoire, une vie ….. Dans une scénographie installant un climat de rêve-éveillé, dans un espace en suspension, fait de voiles, de lumières et de vents intermittents… Il suffit de monter sur le vélo et de pédaler, pour enclencher tout le dispositif, et lancer le film, qui emmène les spectateurs dans cet autre univers ….

Cette promenade subjective, en situation, dure une dizaine de minutes, l’espace autour du (de la) cycliste permettant à une vingtaine de personnes, d’assister en même temps à « la traversée cyclopédique ».

En 2011, Ôlavach’ devient la structure productrice d’une résidence du StreetHorse au Château de Lunéville intitulée « Le vélo des Lumières » (une commande du conseil général de Meurthe et Moselle).

Plus de 2500 spectateurs découvrent cette installation durant le dernier trimestre 2011. Le projet qui devait se développer à partir de cette résidence est arrêté suite au décès de son concepteur, Sylvain Resling, en Janvier 2012.

Crédit : Frank Ravey